CT Special Forces 3 : Bioterror

CT Special Forces 3 : Bioterro

english version

The series of Special Forces seems to bring new opus LSP since this saga has been set up on PSone and GBA. Leaving it to Jihem to tell you the story unfolds on the portable Nintendo, I will witness the passing on the first console from Sony. Faced with much to the series of Metal Slug, Special Forces 3: Bioterror takes the concept of his elders while making new missions and environments The briefing Thursday arriving at its end, we dive as it should play in the maze Title in question.

What can I say about this Special Forces 3: Bioterror? Hum, and as you show the 8 beautiful screenshots on your right, we have an action game in which horizontal scrolling through several small missions appendices make additional phases of play as the parachute jump, a sniper mode or levels that take place in the way of a Choplifter leader in a helicopter to profile. The story will then go through 6 different environments for a total of 18 levels each carved in the over-with countless enemies, turrets defense sur-armed jeeps, etc..

Now if the humor of Metal Slug is here replaced by a more serious or less supported, it must also see that the series of LSP stands out, as I mentioned above, for a variety of phases in its Thursday Each of will excuse them to lead a different hero. First there Stealh Owl (a warrior lying between the Navy and the ninja) fan pump gun, Raptor (a real small Rambo) specialist infiltration missions in hostile terrain and as a person handling the grenade launcher (search error) and Aquila One who never leaves his helicopter, even when it must make full, which means that 100% of the time it crashes before finishing his mission ... wait, especially for me, I am informed that the details have never been verified! In short, there are various challenges as well, even if they deserved to be better organized to prevent excessive monotony.


Et ceci m’amène d’ailleurs au premier écueil du soft qui est de proposer des niveaux beaucoup, mais alors beaucoup trop longs, ceci conduisant à une grande lassitude. Il suffit de terminer le premier niveau se passant dans un train pour se rendre compte qu’on va souffrir, même en aimant le style. Pourtant le tout commence bien avec une petite descente en parachute pour arriver sur le train, dont je parlais plus haut, mais malheureusement le tout est bien vite redondant et difficile (même dans le mode Facile, alors imaginez un peu en Normal ou Difficile !) pour susciter réellement l’intérêt. Mais le pire est à venir puisque après avoir passé quasiment 10 minutes dans ce stage sans fin, le second objectif de la mission se déroule encore dans le train. Bref, on remercie la sauvegarde entre les deux objectifs, on éteint la console et on reprend le jeu après une pause bien méritée. Ensuite, c’est en parcourant un peu plus longuement Bioterror que le second écueil vient de lui-même, celui-ci se rapportant à l’aspect graphique. Rien de méchant par contre puisque les décors sont de très bonne facture pour une PSone, ce qui n’est pas nécessairement le cas des personnages qui s’intègrent moyennement aux environnements et dont la représentation a quelque chose de non fini. Mais encore une fois cela est minime et ne nuit pas au bon déroulement de CT.

In terms of gameplay, there are obviously a different phase Thursday by The parachute is very easy to tame because you need only bring a good place Flown (from right and left) and expect that both altitude gauges are in the green to open your parachute. The following is other than beat'em all hard, you require to cross vast levels by eliminating anything that moves and collecting various items of care, ammunition or grenades. You'll be able to run or you crouch to avoid bullets, drawing in several directions to reach the enemies who are above or below you, driving a tank or swimming in some levels. During the passage of snipe, you should simply direct the viewfinder of your gun to achieve your target and when you will ask a helicopter to fly an aircraft landing to rescue hostages and bring them to safety. Here, we swim in the open Choplifter (an old mythical title of the 80s) and is quite clearly seen from LSP for including this little challenge.

Now it is a bit stupid to see that the challenges have not been placed so that the player really has the impression of diversity Bioterror was able to induce. Instead, and some softness in the action moves (which does not prevent your opponents to arrive by successive waves), and it is difficult to want to move in Thursday Etrange since the previous episode don Had not made such an impression. The result is then a lack of Pepsi and tone that night something to this title nonetheless relatively sympathetic but below Special Forces: Back to Hell.

-------------------------------------------------------------------------------------------

link download

http://ultimaroms.********/console/gb...ent.php?id=233


---------------------------------------------------------------------------------------
version française


La série des Special Forces semble rapporter à LSP puisqu'un nouvel opus de cette saga vient de voir le jour, sur PSone et GBA. Laissant le soin à Jihem de vous conter l’aventure se déroulant sur la portable de Nintendo, je me ferai témoin de celle se passant sur la première console de Sony. Devant beaucoup à la série des Metal Slug, Special Forces 3 : Bioterror reprend le concept de ses aînés tout en y apportant de nouvelles missions et environnements de jeu. Le briefing arrivant à sa fin, plongeons-nous comme il se doit dans les méandres ludiques du titre dont il est question.

Que puis-je vous dire sur ce Special Forces 3 : Bioterror ? Hum, et bien comme vous le montrent les 8 magnifiques screenshots sur votre droite, nous sommes en présence d’un jeu d’action à scrolling horizontal qui à l’aide de plusieurs petites missions annexes vous permettra de profiter d’autres phases de jeu comme du saut en parachute, d'un mode sniper ou encore de niveaux se déroulant à la façon d’un Choplifter en dirigeant un hélicoptère en vue de profil. L’histoire vous fera alors traverser 6 environnements différents pour un total de 18 niveaux chacun taillé dans l’action à outrance avec ennemis innombrables, tourelles de défense, jeeps sur-armées, etc.
Maintenant si l’humour de Metal Slug est ici remplacé par un sérieux plus ou moins appuyé, il faut aussi voir que la série de LSP se démarque, comme je le précisais plus haut, par une diversité dans ses phases de jeu. Chacune d’entre elles sera prétexte à diriger un héros différent. Il y a tout d’abord Stealh Owl (un guerrier se situant entre le marine et le ninja) adepte du fusil à pompe, Raptor (un vrai petit Rambo) spécialiste des missions d’infiltration en terrain hostile et maniant comme personne le lance-grenades (cherchez l'erreur) et enfin Aquila One qui ne quitte jamais son hélicoptère, même quand il doit en faire le plein, ce qui implique que dans 100% des cas il se crashe avant de finir sa mission…attendez, autant pour moi, on m’informe que cette dernière précision n’a jamais été vérifiée ! Bref, on retrouve ainsi divers challenges, même si ces derniers auraient mérité d’être mieux agencés pour éviter une trop grande monotonie.

Et ceci m’amène d’ailleurs au premier écueil du soft qui est de proposer des niveaux beaucoup, mais alors beaucoup trop longs, ceci conduisant à une grande lassitude. Il suffit de terminer le premier niveau se passant dans un train pour se rendre compte qu’on va souffrir, même en aimant le style. Pourtant le tout commence bien avec une petite descente en parachute pour arriver sur le train, dont je parlais plus haut, mais malheureusement le tout est bien vite redondant et difficile (même dans le mode Facile, alors imaginez un peu en Normal ou Difficile !) pour susciter réellement l’intérêt. Mais le pire est à venir puisque après avoir passé quasiment 10 minutes dans ce stage sans fin, le second objectif de la mission se déroule encore dans le train. Bref, on remercie la sauvegarde entre les deux objectifs, on éteint la console et on reprend le jeu après une pause bien méritée. Ensuite, c’est en parcourant un peu plus longuement Bioterror que le second écueil vient de lui-même, celui-ci se rapportant à l’aspect graphique. Rien de méchant par contre puisque les décors sont de très bonne facture pour une PSone, ce qui n’est pas nécessairement le cas des personnages qui s’intègrent moyennement aux environnements et dont la représentation a quelque chose de non fini. Mais encore une fois cela est minime et ne nuit pas au bon déroulement de CT.

Au niveau de la jouabilité, on en retrouve bien entendu une différente par phase de jeu. Celle en parachute est très simple à apprivoiser puisque vous devrez uniquement aligner une bonne tenue de vol (en allant à droite et à gauche) et attendre que les deux jauges d’altitude soient dans le vert pour ouvrir votre parachute. La suivante, qui n’est autre que celle du beat’em all pure et dure, vous obligera à traverser de vastes niveaux en éliminant tout ce qui bouge et en ramassant divers items de soin, des munitions ou encore des grenades. Vous aurez la possibilité de rouler ou de vous accroupir pour éviter les balles, de tirer dans plusieurs sens pour atteindre les ennemis se trouvant au-dessus ou en dessous de vous, de conduire un char d'assaut ou encore de nager dans certains niveaux. Durant les passages de snipe, il vous faudra simplement diriger le viseur de votre fusil pour atteindre vos cibles et les moments où vous dirigerez un hélicoptère vous demanderont de piloter un appareil, d’atterrir pour secourir des otages et les amener en lieu sûr. Ici, on nage en plein Choplifter (un vieux titre mythique des années 80) et c’est assez bien vu de la part de LSP d’avoir inclus ce petit challenge.
Maintenant, il est un peu stupide de constater que les défis n’aient pas été placés de telle sorte que le joueur ait vraiment cette impression de diversité que Bioterror était à même d’induire. Au lieu de ça, et une certaine mollesse dans l’action s'installe (ce qui n’empêche nullement vos adversaires d’arriver par vagues successives), et on peine à vouloir avancer dans le jeu. Etrange car le précédent épisode ne m’avait absolument pas fait cette impression. En résulte alors un manque flagrant de peps et de tonicité qui nuit quelque peu à ce titre qui n’en demeure pas moins relativement sympathique mais en deçà de Special Forces : Back to Hell.

info jeux


Editeur : Hip Interactive
Développeur : LSP
Type : Action
Support : CD
Multijoueurs : Non
Sortie France : Mai 2004
Version : Textes en français
Classification : Déconseillé aux - de 12 ans



A la Croisee des Mondes : La Boussole d'Or


A la Croisee des Mondes : La Boussole d'Or

english version

A few days before the release of the latest blockbuster from New Line Cinema, Sega gives us the opportunity to embody the malicious Lyra in the official game of the film. Accompanied by Pan and Iorek, helping it to penetrate the mysteries of wide open spaces of North Kingdom.

At the crossroads of the Worlds: The Golden Compass is the first part of a film trilogy adapted from novels by Phillip Pullman. It contained the adventures of a young orphan in a rebel like as two drops of water to ours. However, every human being is accompanied by a daemon, the emanation of his soul in an animal, and witchcraft is a reality everywhere. Not without mentioning that Narmia or Harry Potter, the world in which Lyra is full of wonderful and poetry. Unfortunately, more recently, mysterious Enfourneurs abduct children for the religious government, the Magisterium. According to a rumor spread by gypsies, children would be taken to a scientific station in the north to suffer horrendous experiences. When her friend Roger disappears in turn, Lyra vows to find him by all means.

The gaming adaptation of this promising film is a mix of action and reflection. The player directs mainly Lyra, whose cunning and malice are wonderful to fool the many adults it has to cross. Other passages require the intervention of the daemon of the girl: Pan. Finally, some levels use the power of Iorek, a warrior banished bears his Kingdom. After a brief overview of the future resulting in fierce fighting on the ice, the adventure truly begins at Jordan College, Orford. Lyra must do everything to contact his uncle, visiting the facility. For this it must escape the supervision of his chaperone and escape through the roof.

The majority of time spent on the crossroads of the Worlds: The Golden Compass will be devoted to exploration. Lyra jumps, runs, jumps and is struggling in every way imaginable to navigate 3D environments. To reach the most inaccessible, it can also count on Pan knows that change in an instant in cat, eagle or lazy. These sequences platform, combined frequent mini-shooting games of QTY, or phases of discretion. In doing so, we must never lose sight of the investigation. As it ermine, Pan detects important elements behind the scene. Just enable them to collect information, trigger events, or win bonus. The sense of observation and the judicious use of the scanner Pan are fundamental. More than once, it will crash to hide behind a cabinet or retrieve a crumpled paper in a basket to make progress.

The key dialogues with important figures give rise to mini-games, and minimalists poussifs persuasion. Although they are quite varied and we can use different wildcards, principle is so stale that these verbal exchanges quickly became a chore. This is all the more damage they are full of humor and that the aftershocks depend on your performance. The use of Aléthiomètre is fortunately much more interesting. The compass of truth to answer any question if we know interpret symbols. Each consultation gives rise to an event during which it will place needles on the symbols that we seem more consistent with the question. Hence the importance of having recovered a maximum of details about each of them through the scanner or by reaching key areas.

If A CROSS-Worlds: The Golden Compass does not pay mine by its graphic quality, it offers an accessible gameplay and a grip immediately. Perhaps too much elsewhere since Thursday n'importunera person by its difficulty. Numerous mini-games include a moment. The fighting with Iorek result in a barrage of blows and easy chopper out. Pan forms can easily be combined to make air combos impressive. Unfortunately, the automated camera does not always show great accuracy in his jumps, especially when it moves in the open web. At the level of narration, the player can also feel a little baffled by confusing transitions, clumsily illustrated by short snippets of film. However, despite its many small flaws, this Golden Compass offers are lot of adventure and scenery. The system of symbols with their meanings to be found in any decor, provides more significant phases of exploration, and depth to some interesting puzzles. Finally, the design of animals and endearing charisma of Lyra will forget the achievement of poor soft.
---------------------------------------------------------------------------------------

version française


A quelques jours de la sortie du dernier blockbuster de la New Line Cinema, Sega nous offre l'opportunité d'incarner la malicieuse Lyra dans le jeu officiel du film. Accompagné de Pan et Iorek, aidons-la à percer les mystères des grands espaces du Royaume du Nord.

A La Croisée Des Mondes : La Boussole D'Or est le premier volet d'une trilogie cinématographique adaptée des romans de Phillip Pullman. Il conte les aventures d'une jeune orpheline rebelle dans un univers ressemblant comme deux gouttes d'eau au nôtre. Cependant, chaque être humain y est accompagné d'un daemon, l'émanation de son âme sous une forme animale, et la sorcellerie est une réalité omniprésente. Non sans évoquer celui de Narmia ou d'Harry Potter, le monde dans lequel évolue Lyra est donc empreint de merveilleux et de poésie. Hélas, depuis peu, de mystérieux Enfourneurs enlèvent des enfants pour le compte du gouvernement religieux, le Magisterium. Selon une rumeur véhiculée par les Gitans, les enfants seraient emmenés vers une station scientifique dans le Nord pour y subir d'affreuses expériences. Lorsque son ami Roger disparaît à son tour, Lyra jure de le retrouver par tous les moyens.

L'adaptation vidéoludique de ce film prometteur est en fait un savant mélange d'action et de réflexion. Le joueur dirige principalement Lyra, dont la ruse et la malice font merveille pour duper les nombreux adultes qu'elle est amené à croiser. D'autres passages nécessitent l'intervention du daemon de la fillette : Pan. Enfin, quelques niveaux font appel à la puissance de Iorek, un guerrier ours banni de son Royaume. Après un bref aperçu du futur donnant lieu à de féroces combats sur la banquise, l'aventure commence véritablement au Jordan College d'Orford. Lyra doit tout faire pour entrer en contact avec son oncle, en visite dans l'établissement. Pour cela, elle doit échapper à la surveillance de son chaperon et s'enfuir par les toits.

La majorité du temps passé sur La Croisée Des Mondes : La Boussole D'Or sera consacrée à l'exploration. Lyra saute, court, grimpe, et se démène de toutes les manières imaginables pour parcourir les environnements en 3D. Pour atteindre les endroits les plus inaccessibles, elle peut aussi compter sur Pan qui sait se changer en un instant en chat, aigle ou paresseux. A ces séquences de plate-forme, s'ajoutent fréquemment des mini-jeux de tir, des QTE, ou des phases de discrétion. Ce faisant, il ne faut jamais perdre de vue l'enquête. Sous sa forme d'hermine, Pan détecte les éléments importants qui se cachent dans le décor. Il suffit alors d'activer ces derniers pour recueillir des informations, déclencher des événements, ou gagner des bonus. Le sens de l'observation et l'usage judicieux du scanner de Pan sont fondamentaux. Plus d'une fois, il faudra se cacher en catastrophe derrière un meuble ou récupérer un papier froissé dans une corbeille pour pouvoir progresser.

Les dialogues-clés avec les personnages importants donnent lieu à des mini-jeux de persuasion poussifs et minimalistes. Bien qu'ils soient assez variés et que l'on puisse utiliser différents jokers, leur principe est tellement éculé que ces échanges verbaux deviennent vite une corvée. C'est d'autant plus dommage qu'ils sont pleins d'humour et que les répliques dépendent de vos performances. L'usage de l'Aléthiomètre est heureusement bien plus intéressant. Cette boussole de vérité permet de répondre à n'importe quelle question pourvu que l'on sache en interpréter les symboles. Chaque consultation donne donc lieu à une épreuve durant laquelle il faudra placer des aiguilles sur les symboles qui nous semblent le plus en accord avec la question posée. D'où l'importance d'avoir au préalable récupéré un maximum de détails sur chacun d'eux grâce au scanner ou en atteignant des endroits-clés.

Si A La Croisée Des Mondes : La Boussole D'Or ne paye pas de mine par sa qualité graphique, il propose un gameplay accessible et une prise en main immédiate. Peut-être trop d'ailleurs puisque le jeu n'importunera personne par sa difficulté. Les nombreux mini-jeux se comprennent en un instant. Les combats avec Iorek donnent lieu à un déluge de coups et de choppes faciles à sortir. Les formes de Pan peuvent aisément être combinées pour pouvoir réaliser des combos aériens impressionnants. Malheureusement, la caméra automatisée ne permet pas toujours de faire preuve d'une grande précision dans ses sauts, en particulier lorsqu'elle bouge en plein enchaînement. Au niveau de la narration, le joueur peut également se sentir un peu dérouté par des transitions confuses, maladroitement illustrées par de courts extraits du film. Néanmoins, malgré ses nombreux petits défauts, cette Boussole D'Or offre sont lot d'aventure et de dépaysement. Le système des symboles, avec leurs significations à rechercher dans tous les décors, apporte un plus non négligeable aux phases d'exploration, et une profondeur intéressante à certaines énigmes. Enfin, le design attachant des animaux et le charisme de Lyra feront oublier la réalisation médiocre du soft.

info jeux

Editeur : Sega
Développeur : Shiny Entertainment

Type : Action / Aventure
Support : DVD
Multijoueurs : non
Sortie France : 30 novembre 2007
Version : française intégrale
Classification : Déconseillé aux - de 12 ans


Civilization IV : Colonization


english version

Sid Meier Now we redid the remake of the coup. Having resurrected the legendary Pirates!, The creator has a new lease of life to another of its legendary titles: Colonization. A believe the man is running out of ideas ... However, this modernized version is an opportunity for newcomers to discover this strategy game round by round, and for nostalgic return to its delights.


Make no mistake: despite its name, Civilization: Colonization is not an extension of Civilization, but a remake of Colonization. It's a bit complicated and it is a lot of "z" ... One wonders also how well Firaxis pitched fly to appoint his game and, at the risk of fueling confusion in the minds of players. Perhaps the studio he hoped to surf on the wave of Civilization franchise, it is true that much more popular Colonization, which has experienced an opus in 1994 and nothing since? Possible ... But remember that Civilization IV is not required to play Colonization. In fact, if the two games share the same graphics engine, that's about all they have in common. Admittedly, there are a few similar mechanisms, since the two titles belong to the same category, but Colonization still has its own personality.


This personality is above all a historical context: the conquest of the New World. Therefore, there as protagonists of four countries that participated in the colonization of the Americas from the late fifteenth century England, Spain, France and Holland. And not Portugal, with all due respect to some. Of course, these nations are competing, but your main enemy is not foreign factions, nor the many local tribes elsewhere. No, but the final part of Colonization is simply independence from your nation of origin. A long-term goal, damn it will have to expand to dare confront the omnipotence of the motherland! To achieve this, you have until the end of the eighteenth century, 300 rounds of the game in normal mode (one each). A time in which your small desk will be transformed into a vast colonial empire through trade, diplomacy and war.

Indeed, such are the three udders gameplay of Colonization. Specifically, each city gives you resources depending on the type of surrounding land. These range from basic raw materials (food, wood) to scarce resources such as sugar or cotton. These can be used raw, but take all their value once processed into manufactured goods, rum or tissue for example. These precious commodities can be sold in Europe through a boat trip. In contrast, you can acquire what you lack, such as weapons or horses, difficult to produce by itself at the outset. And especially the fresh labor, immigration is the best way to populate its colonies. According to the adage "the right tools make good workers", it will be necessary to affect the most competent units in buildings correspondents. Putting a lumberjack in a distillery will serve little purpose ...

These small hands are effectively supported by great men, the famous "founding fathers". Some fifty historical figures are present, as Benjamin Franklin, Alexis de Tocqueville or Francisco Pizarro. They confer benefits very useful additional units or buildings, improvements free bonus production or defense, etc.. But to obtain it, it will first have to win these founding fathers to your cause by earning points in different gauges (trade, exploration, war, politics, religion). Once the correct number of points acquired, they will spontaneously offer their services and join your continental congress, if a competitor has not already enrolled. This idea effectively Renews the interest of Colonization, as may take radically different directions from one party to another. It is quite possible to develop peacefully or reduce to ashes the competition is up to you. Nevertheless, one can not help but notice a certain repetitiveness over the parties, but it is a defect inherent gender and addiction outweighs the fatigue. There remains the question of innovation, and here we must frankly admit that Firaxis did not take many risks. While the studio has changed a few minor points since the 1994 version, but these changes remain anecdotal. A finding that might divide between fans who Hailing the original and most demanding players regret that the lack of news. Whatever your camp, Colonization is a good game to discover.


-------------------------------------------------------------------------------------


http://wlink.us//zd

http://wlink.us//ze

http://wlink.us//zf





----------------------------------------------------------------------------------


version française


Voilà que Sid Meier nous refait le coup du remake. Après avoir ressuscité le mythique Pirates!, le créateur offre une seconde jeunesse à un autre de ses titres légendaires : Colonization. A croire que le bonhomme est à cours d'idées neuves... Quoi qu'il en soit, cette version modernisée est l'occasion pour les nouveaux venus de découvrir ce jeu de stratégie en tour par tour, et pour les nostalgiques de replonger dans ses délices.

Ne vous y trompez pas : malgré son nom, Civilization : Colonization n'est pas une extension de Civilization, mais bien un remake de Colonization. C'est un peu compliqué et ça fait beaucoup de "z"... On se demande d'ailleurs bien quelle mouche a piqué Firaxis pour nommer son jeu ainsi, au risque d'alimenter la confusion dans l'esprit des joueurs. Peut-être le studio espère-t-il surfer sur la vague de Civilization, franchise il est vrai beaucoup plus populaire que Colonization, qui n'a connu qu'un opus en 1994 et plus rien depuis ? Possible... Mais sachez donc que Civilization IV n'est pas requis pour jouer à Colonization. En fait, si les deux jeux partagent bien le même moteur graphique, c'est à peu près tout ce qu'ils ont en commun. Certes, on retrouve bien quelques mécanismes similaires, puisque les deux titres appartiennent à la même catégorie, mais Colonization possède tout de même sa propre personnalité.

Cette personnalité, c'est avant tout un contexte historique : la conquête du Nouveau Monde. On retrouve donc en guise de protagonistes quatre pays ayant participé à la colonisation du continent américain à partir de la fin du XVème siècle : l'Angleterre, l'Espagne, la France et la Hollande. Et pas le Portugal, n'en déplaise à certains. Bien sûr, ces nations sont rivales, mais votre principal adversaire ne sera pas les factions étrangères, pas plus que les nombreuses tribus locales d'ailleurs. Non, le but final d'une partie de Colonization est tout simplement l'indépendance par rapport à votre nation d'origine. Un objectif de longue haleine, puisqu'il va falloir sacrément se développer pour oser affronter la toute puissance de la mère-patrie ! Pour y parvenir, vous avez jusqu'à la fin du XVIIIème siècle, soit 300 tours de jeu en mode normal (un par an). Un laps de temps au cours duquel votre petit comptoir va se transformer en un vaste empire colonial grâce au commerce, à la diplomatie et à la guerre.

En effet, telles sont les trois mamelles du gameplay de Colonization. Concrètement, chaque ville vous octroie des ressources en fonction du type de terrain environnant. Cela va des matières premières de base (nourriture, bois) à des ressources plus rares comme le sucre ou le coton. Ces dernières peuvent être utilisées brutes, mais prendront toute leur valeur une fois transformées en biens manufacturés, rhum ou tissu par exemple. Ces précieuses denrées peuvent ensuite être vendues en Europe grâce à un voyage en bateau. A l'inverse, vous pourrez aussi y acquérir ce qui vous fait défaut, comme les armes ou les chevaux, difficiles à produire par soi-même au départ. Et surtout de la main-d'oeuvre fraîche, l'immigration étant le meilleur moyen de peupler ses colonies. Selon l'adage "les bons outils font les bons ouvriers", il faudra veiller à affecter les unités les plus compétentes aux bâtiments correspondants. Mettre un bûcheron dans une distillerie ne servira pas à grand-chose...

Ces petites mains sont efficacement secondées par des grands hommes, les fameux "pères fondateurs". Une cinquantaine de figures historiques sont présentes, comme Benjamin Franklin, Alexis de Tocqueville ou Francisco Pizarro. Ils confèrent des avantages très utiles : unités ou bâtiments supplémentaires, améliorations gratuites, bonus de production ou de défense, etc. Mais pour les obtenir, il va d'abord falloir rallier ces pères fondateurs à votre cause en gagnant des points dans différentes jauges (commerce, exploration, guerre, politique, religion). Une fois le bon nombre de points acquis, ils viendront spontanément proposer leurs services et rejoindre votre congrès continental, pour peu qu'un concurrent ne les ait pas déjà enrôlés. Cette idée renouvelle efficacement l'intérêt de Colonization, puisqu'on pourra prendre des orientations radicalement différentes d'une partie à l'autre. Il est tout à fait possible de se développer pacifiquement ou de réduire en cendres la concurrence, c'est à vous de voir. Malgré tout, on ne peut s'empêcher de remarquer une certaine répétitivité au fil des parties, mais c'est un défaut inhérent au genre et l'addiction l'emporte largement sur la lassitude. Reste la question de l'innovation, et là franchement il faut avouer que Firaxis n'a pas pris beaucoup de risques. Certes, le studio a bien modifié quelques points mineurs depuis la version de 1994, mais ces changements restent anecdotiques. Un constat qui risque de diviser, entre les fans qui salueront le respect de l'oeuvre originale et les joueurs plus exigeants qui regretteront le manque de nouveautés. Quel que soit votre camp, Colonization demeure un bon jeu à (re)découvrir.
Captain Obvious , le 29 septembre 2008

info jeux


Editeur : Take 2 Interactive
Développeur : Firaxis
Type : Stratégie
Support : CD
Multijoueurs : 2-18 joueurs
Sortie France : 26 septembre 2008
Version : Française intégrale
Config minimum : Windows 2000/XP/Vista, Pentium IV 1,2 GHz, 256 Mo de RAM (512 pour XP), carte graphique 64 Mo compatible Pixel Shader 1.1
Config conseillée : Windows 2000/XP/Vista, Pentium IV 1,8 GHz, 512 Mo de RAM, carte graphique 128
Classification : Déconseillé aux - de 12 an

the witcher ( pc game )

The Witcher - Enhanced Edition

English version

The Witcher is certainly a great role play and was rewarded as such in these columns last year. Nevertheless, with a hint of severity, due to some annoying flaws, including load times and characters cloned. The story could stop there, but CD Projekt is decidedly not a developer like any other. The studio has sought to correct these problems, and we hit the resort today in a revised and corrected. Icing on the cake, this new version contains two new adventure and we are served in a superb packaging containing bonuses. Ideal for a meeting of catching up, or rediscover this pearl in all its splendor.


The Witcher is primarily the story of a cycle of fantasy written by Polish author Andrzej Sapkowski. His universe is based on a now classic dwarves and elves meet present and responsive to all the cliches in force. But it does not lack originality. The story takes place in an atmosphere dark fever is rampant, racism against non-human grows ... And above all, sorceleurs handful of survivors have lost the confidence of the population. These warriors hunters monsters, which have undergone genetic mutations to develop strength and stamina. They also have some magical powers called signs. The hero that we control is one of them, not least because of Geralt Riv is its name, was known for his exploits. But early Thursday, he resurfaced after several years of disappearance and appears to have forgotten who he is. Here we are again the stroke of amnesia ... Like a Gothic 3, it does not, therefore, his character, it embodies Geralt the White Wolf. After defending the fortress of Kaer Morhen, he moved to Wyzima, capital of Temeria in search of answers.


Here we see a big difference compared to one of the heavyweights of the genre, I appointed Oblivion. In The Witcher, not to go wherever we feel from the beginning. We are not dropped in a vast world to go in all directions at the option of his mood. No, here, we must begin with the suburbs, then reaching the town, then go in the marshes, etc.. The improvement is very compartmentalized. An impression reinforced even more that playgrounds are not immense, and we can not go wherever we want. For example, in the suburbs of Wizima, every field is rendered inaccessible by a wooden fence. Knowing that Geralt can neither jump nor swim elsewhere, the course of this area is limited to a circle which follows the path. Same once in the city, where several neighborhoods were not immediately available for the needs of the scenario. In short, the world's game is at the service of history, and therefore open gradually over the progress of the player. This is not an evil, but we would still have enjoyed more freedom.


Well, not exaggerate, if there is a lack of freedom in movements, there is no shortage of choices provided. Geralt will have many opportunities to intervene in the events. Leave your villagers burn the witch, or will you take his defense? Will you take from a fishing village, or a god submarine? You will have to decide, and that will sometimes affect the result. We feel we have a real influence. Many side quests are also available. They are of two types: those proposed by the characters with whom the dialogue are generally well constructed and are rather interesting. However, missions annexes available on billboards there are worse in role-playing: it is neither more nor less than to go kill ten or eight drownings GOULES and report their heads or I do not know what part of their body (and I do not know). Boring, to book those who want to earn a little more experience or money. But other ways to get rich is no shortage: the mini-game of poker dice is very successful, and fans will surely be a few hours to reach the top of the hierarchy of bettors, facing professionals for always put higher. The artificial intelligence of opponents has been revised for this edition, they do not comment the same mistakes more stupid than before. It is also possible to engage in boxing in the taverns, but the unarmed combat is not exciting, we just stick a few chestnuts between two dodge.


The "real" combat, to the sword, is however far more interesting. After disrupting the start, we learn quickly how to use combos. Everything is in the timing: after clicking on an enemy, a first sequence of shots go off. Then, click again at the right time to trigger a second volley of shots, and so on. In total, up five sequences that can be chained. They depend on the weapon used (money for monsters, steel for humans) but also the chosen style of fighting: powerful, fast or group, each of which is obviously more or less adapted to the type of enemies. This system is varied and enjoyable when we start to have a panel of coups and therefore we just stand up to a dozen opponents simultaneously. This will distribute the talents adequately. The sheet of characters is quite special in The Witcher, there is no question of complex numerical characteristics. At each level, using talent points to unlock skills is related to the attributes (strength, dexterity, endurance, intelligence) or combat skills or magic. For example, in the jurisdiction steel - powerful "(which as its name suggests is made to attack style with a powerful weapon steel), we can distribute talent points to increase the damage or the chances of parades . In a sign of igni, or the power to fire, talent can increase the angle or duration of the conflagration. What a pity that the magic is not more developed elsewhere, because ultimately spells, even if they can be improved in many ways, are the number of five. Telekinesis, protection, control ... It was quickly made the turn.

As against, many potions complement magic. The alchemy system is very complete. First, to pick plants, you need to know. This means that the grass will need to purchase or otherwise acquire. The flight is anyway not punished in The Witcher can loot a house in the nose and beard of its occupants without risking anything. In short, once the grass read, the knowledge they contain added to a newspaper provided in the ingredients, and you can harvest the plants in question. Everything is indeed like this: we must find formulas potion in books, although it remains possible to experiment. Even monsters need to be studied in precious volumes to be added to the bestiary, rich in information on techniques to kill them. A sacred good idea. Once the components together, just enter in meditation to create the desired elixir. It can also manufacture explosives, or oil to coat the blades and make them more effective. There is no magic weapon itself, but it is a way to improve them, such as diamond powder or runes. In the end, the gameplay is refreshing thanks to all these small new findings. The Enhanced Edition improves the transition interface since the alchemy section of the inventory is now devoted to components, you can also sort by nature

Visually, The Witcher place the bar very high. Indeed, the graphic engine is capable of feats difficult to recognize the Aurora Engine developed by BioWare for Neverwinter Nights 2. The design is not standing still, it frequently happens to be admiration for the landscape, jaw stalled before so much beauty, small details, lights sublime. Add to this the effects of weather, the day / night cycle perfectly rendered, the places that are teeming with life ... Thus, the birds away in your path while butterflies volettent. In town, people go about their occupations, wandering dogs, children playing in the streets. The world is very alive and very consistent. This immersion is enhanced by realistic sounds more beautiful. In short, we are dealing with a very careful implementation. The main criticism made to the original version, namely the presence of NPC cloned, no longer be as CD Projekt has integrated new models, with more animations

In short, through the Enhanced Edition, The Witcher approaching perfection. With its original game system, its history well built (one feels the pen of a writer behind), its achievement refined down to the smallest detail, it is a great role-playing, race too much Rare lords, who left an indelible to anyone plunge inside. Furthermore, the box contains numerous bonus (RB, videos, map, guide Thursday ..) at a price defying any competition. The two new adventures concocted by the developers, they are good. The first, "the price of neutrality", takes place at the foot of the fortress Kaer Morhen. The second is going to Wyzima, whereas Geralt must leave his friend Jaskier a bad password ... A total of five additional hours of Thursday. All that content is obviously open to owners of the original edition via a patch.

The previous test ended with these words: "Stay tuned." Here it is therefore a result, even if he had to wait almost a year to get it worth it to wait. Meanwhile, we must admit that it has not happened much in the small world of role-playing PC. This vacuum leaves a boulevard The Witcher for becoming the new benchmark of the genre. Now, the Risen, Dragon Age: Origin, Arcania: A Gothic Tale and other Divinity 2: Ego Draconis who are outsiders, and they have a lot to do in 2009 to overthrow the king to his throne.

------------------------------------------------------------------------------
link of download

------------------------------------------------------------------------------

version française
The Witcher est assurément un grand jeu de rôle, et il a été récompensé comme tel dans nos colonnes l'an passé. Avec néanmoins un soupçon de sévérité, dû à quelques défauts énervants, notamment les temps de chargement et les personnages clonés. L'histoire aurait pu s'arrêter là, mais CD Projekt n'est décidément pas un développeur comme les autres. Le studio s'est attaché à corriger ces problèmes, et nous ressort aujourd'hui son hit dans une version revue et corrigée. Cerise sur le gâteau, cette nouvelle mouture contient deux aventure inédites et nous est servie dans un superbe packaging contenant de nombreux bonus. Idéal pour une séance de rattrapage, ou pour redécouvrir cette perle dans toute sa splendeur.
The Witcher, c'est d'abord l'histoire d'un cycle de fantasy écrit par l'auteur polonais Andrzej Sapkowski. Son univers repose sur des bases désormais classiques : nains et elfes répondent présents et correspondent bien à tous les clichés en vigueur. Mais il ne manque pas non plus d'originalité. L'histoire se déroule dans une atmosphère sombre : la peste fait des ravages, le racisme envers les non-humains grandit... Et surtout, la poignée de sorceleurs survivants n'ont plus la confiance de la population. Il s'agit de guerriers chasseurs de monstres, ayant subi des mutations génétiques afin de développer leur force et leur résistance. Ils disposent aussi de quelques pouvoirs magiques appelés signes. Le héros que l'on contrôle est l'un d'entre eux, et pas des moindres, puisque Geralt de Riv, c'est son nom, fut réputé pour ses exploits. Mais au début du jeu, il refait surface après plusieurs années de disparition et semble avoir oublié qui il est. Voilà qu'on nous refait le coup de l'amnésie... A l'instar d'un Gothic 3, on ne crée donc pas son personnage, on incarne Geralt, le Loup Blanc. Après avoir défendu la forteresse de Kaer Morhen, il part à Wyzima, capitale du royaume de Temeria, en quête de réponses.
Là, on se rend compte d'une grande différence par rapport à l'un des ténors du genre, j'ai nommé Oblivion. Dans The Witcher, pas question d'aller où bon nous semble dès le début. On n'est pas lâché dans un vaste monde à parcourir dans tous les sens au gré de son humeur. Non, ici, il faut commencer par les faubourgs, puis atteindre la ville, puis aller dans les marais, etc. La progression est assez cloisonnée. Une impression d'autant plus renforcée que les aires de jeu ne sont pas immenses, et qu'on ne peut pas aller où l'on veut. Par exemple, dans les faubourgs de Wizima, le moindre champ est rendu inaccessible par une barrière de bois. Sachant que Geralt ne sait ni sauter, ni nager d'ailleurs, le parcours de cette zone se limite à un cercle qui suit le chemin. Même constat une fois dans la ville, où plusieurs quartiers ne sont pas tout de suite accessibles pour les besoins du scénario. Bref, le monde du jeu est au service de l'histoire, et s'ouvrira donc progressivement au fil de l'avancement du joueur. Ce n'est pas un mal, mais on aurait tout de même apprécié plus de liberté.
Bon, n'exagérons rien, s'il y a un manque de liberté dans les mouvements, on ne manque pas de choix pour autant. Geralt aura souvent l'occasion d'intervenir dans les événements. Laisserez-vous les villageois brûler la sorcière, ou prendrez-vous sa défense ? Allez-vous prendre le parti d'un village de pêcheurs, ou celui d'un dieu sous-marin ? Ce sera à vous de trancher, et cela aura parfois une incidence sur la suite. On sent qu'on a une réelle influence. De nombreuses quêtes secondaires sont aussi disponibles. Elles sont de deux types : celles qui sont proposées par les personnages avec qui on dialogue sont en général bien construites et s'avèrent plutôt intéressantes. En revanche, les missions annexes disponibles sur les panneaux d'affichage sont ce qu'il y a de pire dans les jeux de rôle : il s'agit ni plus ni moins que d'aller tuer dix noyadés ou huit goules et de rapporter leurs têtes ou je ne sais quelle partie de leur corps (et je ne veux pas le savoir). Ennuyeux, à réserver à ceux qui veulent gagner un peu plus d'expérience ou d'argent. Mais les autres moyens de s'enrichir ne manquent pas : le mini-jeu de poker aux dés est très réussi, et les amateurs y passeront certainement quelques heures pour se hisser au sommet de la hiérarchie des parieurs, affrontant des professionnels pour des mises toujours plus élevées. L'intelligence artificielle des adversaires a d'ailleurs été revue pour cette réédition, ils ne commentent plus les mêmes erreurs stupides qu'auparavant. Il est aussi possible de s'adonner au pugilat dans les tavernes, mais le combat à mains nues n'est pas passionnant, on se contente de coller quelques châtaignes entre deux esquives.
Le "vrai" combat, à l'épée, est en revanche bien plus intéressant. Passé le début perturbant, on apprend vite à se servir des combos. Tout est dans le timing : après avoir cliqué sur un ennemi, une première séquence de coups se déclenche. Ensuite, il faut recliquer au bon moment pour déclencher une seconde volée de coups, et ainsi de suite. Au total, ce sont jusqu'à cinq séquences qui peuvent être enchaînées. Elles dépendent de l'arme utilisée (argent pour les monstres, acier pour les humains) mais aussi du style de combat choisi : puissant, rapide ou groupe, chacun étant évidemment plus ou moins adapté selon le type d'ennemis. Ce système se révèle varié et plaisant, quand on commence à disposer d'un panel de coups conséquent et que l'on vient de tenir tête à une dizaine d'adversaires simultanément. Pour cela, il faudra distribuer les talents de manière adéquate. La feuille de personnages est assez spéciale : dans The Witcher, il n'est pas question de caractéristiques chiffrées complexes. A chaque niveau, on utilise des points de talent pour débloquer des compétences liées soit aux attributs (force, dextérité, endurance, intelligence), soit aux compétences de combat ou de magie. Par exemple, dans la compétence "acier - puissant" (qui comme son nom l'indique correspond aux attaques faites en style puissant avec une arme d'acier), on peut distribuer des points de talent pour augmenter les dégâts ou les chances de parades. Pour le signe d'Igni, autrement dit le pouvoir de feu, les talents peuvent augmenter l'angle ou la durée de l'embrasement. Quel dommage que la magie ne soit pas plus développée d'ailleurs, car finalement les sorts, même s'ils peuvent être améliorés de nombreuses façons, ne sont qu'au nombre de cinq. Télékinésie, protection, contrôle... On a vite fait le tour.
Par contre, de nombreuses potions viennent compléter la magie. Le système d'alchimie est très complet. D'abord, pour pouvoir cueillir des plantes, il faut les connaître. Cela passe par des herbiers qu'il faudra acheter ou acquérir autrement. Le vol n'est de toutes façons pas puni dans The Witcher, on peut piller une maison au nez et à la barbe de ses occupants sans risquer quoi que ce soit. Bref, une fois ces herbiers lus, les connaissances qu'ils renferment s'ajoutent à un journal très fourni dans la section des ingrédients, et vous pouvez récolter les plantes en question. Tout marche d'ailleurs comme ça : il faut aussi trouver les formules de potion dans des livres, bien qu'il reste possible d'expérimenter. Même les monstres doivent être étudiés dans de précieux volumes afin de s'ajouter au bestiaire, riche en informations sur les techniques pour les tuer. Une sacrée bonne idée. Une fois les composants réunis, il suffit d'entrer en méditation pour créer l'élixir désiré. On peut également fabriquer des explosifs, ou des huiles pour enduire les lames et les rendre plus efficaces. Il n'y a pas d'armes magiques à proprement parler, mais c'est une façon de les améliorer, comme la poudre de diamant ou les runes. Au final, le gameplay est rafraîchissant grâce à toutes ces petites trouvailles inédites. Cette Enhanced Edition améliore au passage l'interface de l'alchimie puisqu'une section de l'inventaire est désormais consacrée aux composants, qu'on peut de surcroît trier par nature.
Visuellement, The Witcher place la barre très haut. En effet, le moteur graphique est capable de prouesses, difficile de reconnaître l'Aurora Engine développé par Bioware pour Neverwinter Nights 2. Le design n'est pas en reste, il arrive donc fréquemment d'être en admiration devant le paysage, mâchoire décrochée devant tant de beauté, de petits détails, de lumières sublimes. Ajoutons à cela les effets météorologiques, le cycle jour/nuit parfaitement rendu, les lieux qui fourmillent de vie... Ainsi, les oiseaux s'enfuient sur votre passage tandis que les papillons volettent. En ville, les habitants vaquent à leurs occupations, les chiens errent, les enfants jouent dans les rues. Le monde est vraiment vivant et très cohérent. Cette immersion est renforcée par des bruitages réalistes du plus bel effet. Bref, on a affaire à une réalisation très soignée. Le principal reproche fait à la version originale, à savoir la présence de PNJ clonés, n'a plus lieu d'être puisque CD Projekt a intégré de nouveaux modèles, dotés de plus d'animations.
Bref, grâce à cette Enhanced Edition, The Witcher frôle la perfection. Avec son système de jeu original, son histoire bien construite (on sent la plume d'un véritable écrivain derrière), sa réalisation léchée jusque dans les moindres détails, il s'impose comme un grand jeu de rôle, de la race ô combien trop rare des seigneurs, qui laissera une empreinte indélébile à quiconque plongera dedans. Pour ne rien gâcher, la boîte contient de nombreux bonus (BO, vidéos, carte, guide de jeu...) à un tarif défiant toute concurrence. Quant aux deux nouvelles aventures concoctées par les développeurs, elles sont de bonne facture. La première, "le prix de la neutralité", se déroule au pied de la forteresse de Kaer Morhen. La seconde se passe à Wyzima, alors que Geralt doit sortir son ami Jaskier d'une bien mauvaise passe... Au total, comptez cinq heures de jeu supplémentaires. Tout ce contenu est évidemment accessible aux possesseurs de l'édition originale via un patch.

Le précédent test se concluait par ces mots : "affaire à suivre". La voilà donc, la suite, et même s'il a fallu patienter près d'un an pour l'obtenir, ça valait le coup d'attendre. Entre temps, il faut bien admettre qu'il ne s'est pas passé grand-chose dans le petit monde des jeux de rôle PC. Ce vide laisse à The Witcher un boulevard pour s'imposer comme la nouvelle référence du genre. Maintenant, ce sont les Risen, Dragon Age : Origin, Arcania : A Gothic Tale et autres Divinity 2 : Ego Draconis qui sont les outsiders, et ils auront fort à faire en 2009 pour renverser le roi de son trône.
info jeux

Editeur : Atari
Développeur : CD Projekt
Type : Jeu de Rôle
Support : DVD
Multijoueurs : Non
Sortie France : 19 septembre 2008(16 septembre 2008 aux Etats-Unis)
Version : Française intégrale
Config minimum : Windows XP SP2/Vista, Pentium IV 2,4 GHz, 1 Go de RAM, carte vidéo GeForce 6600 ou Radeon 9800 avec 128 Mo
Config conseillée : Windows XP SP2/Vista, Core 2 Duo, 2 Go de RAM, carte vidéo GeForce 7900 avec 256 Mo
Classification : Interdit aux - de 18 ans

Crysis Warhead (game pc)



pc game player

Crysis Warhead

English version

Crysis Warhead is not a suite, but an extension of SPF event of the end of last year, which was able to prove that he was not just a technological showcase. It proposes a new solo campaign in parallel events experienced in the original, allowing players to prolong the pleasure by taking another point of view. Sold at reduced prices as a stand alone including a second disc dedicated to multiplayer, it poses as a vital acquisition. What is it?

On 16 November 2007 came to an end recent speculation on technical Crysis: yes the game was a massacre visual, so it required a pattern of gross and turn its full potential. But beyond its admirable plastic, was discovered gameplay licked and dynamic. Eased scripts that parasitize too often the freedom of action, he proposed open environments with a wide variety of approaches, with a remarkable physics engine support. Yet the solo campaign leaving an after-taste of incompleteness: uneven in terms of pace, it contrasted too much between the first part "sandbox" and a second jubilant very scripted and ultimately less convincing. Warhead thus tries to sublimate betting experience offered by Crysis. His exit as a stand alone (the original game is not required to play) allows EA and Crytek to give a second chance at a title whose sales were deemed disappointing. Machinery capable of turning a marked increase.


Crysis Warhead transports you again on the Pacific island already surveyed in the original. But this time, you will explore the other side's point of view of Sergeant Sykes. Contrary to what may suggest its brutal and marked facies, Psycho (that is his nickname) is a much more nuanced and deeper than could be Nomad. This is the kind of soldier likely to disrupt a mission to go rescue a teammate in need. As Nomad, Psycho is part of this squad of elite soldiers dispatched to the island. It has therefore also nanocombinaison a true second skin that will save the more than once. Briefly recall that the island has recently been overrun by Korean forces, who hold hostage the American archaeologists have unearthed the presence of a form of extraterrestrial life. Throughout the seven levels proposed by the new companion solo Psycho's mission is to pursue a mysterious convoy led by Colonel Ji-Sung Lee. Who has not played Crysis might be a little hard to understand certain developments of Scenarist Warhead, but let's be honest: this has little importance. It regrets that the parallel with the original episode is too often limited to simple citations: there are some places like the port or frozen bar, we hear Nomad on the radio ... But the actions of Psycho have no direct influence on events experienced by Nomad and vice versa. Damage, could be fun.

The new campaign proposed by Crysis Warhead has worked over narration and a more studied pace. The various moods follow a more sustained pace, without having time to get bored: from the sunny beaches of the first-level sub-wood muddy the second, beaten by a tropical rain. Then we traveled the island frozen on board a hovercraft, then go to explore the depths of a mine ... Warhead also offers a wider variety of situations within the same level. Psycho can start a walk alone, then initiate a prosecution in a vehicle, and then participate in an assault with a squad of teammates. We feel the effort of developers to maintain a steady pace without any dead time, the price of a linearity greater than in the original opus: open levels are fewer and less extensive, and scripts are more present. The wait times are also fewer as the enemy soldiers, less static, rush easier on you and continue to stalk you if you opt for a strategic retreat. It becomes a bit variety of approaches: the clashes, more direct, do as much to test your ingenuity, your tactics and your ability to adapt. It is surprising even to use a little less the four functions of the nanosuit.


The various improvements Crysis Warhead go in the direction of this all-action ". Starting with the new weapons available. The grenade launcher can overcome more easily tanks and other armored vehicles that could pose a problem in the first opus. The machine pistol, available in double, is devastating in close combat, but his major setback him any details from afar. We greatly appreciate that the latter has been increased: the distance covered is much more precise, as are the fire made from turrets and vehicles. Vehicles, precisely, expanding a newcomer: the VRB (armored reconnaissance vehicle), whose fire power used to clean whole parcels of jungle like a Predator. All this makes arsenal Crysis Warhead easier than the original, all that ammunition is more common and automatically pick the lowest levels of difficulty: a good idea that you will not spend three hours to search through the thick grass. At radius improvements include those made to AI. Not that the behavior of your opponents has been reviewed, but it suffers far fewer failures than in the original game. Finally on the campaign solo, let it unfortunately has a life a little low, which is struggling to exceed six hours of play (even performing a few side missions). The game may be sold at a reasonable price, one can not help but stay hungry.


Fortunately, Crysis Warhead also expanding in terms of multiplayer, with the presence in the box Thursday a second DVD, titled Crysis Wars, which is devoted entirely. It includes 21 maps in total, 14 were already present in the original. Some of them are dedicated to the famous mode Power Struggle, which combines the fun of an immediate Counter Strike teamplay with a Battlefield, other classic Instant Action. The latest introduce a new game mode called Instant Action Team. This is certainly a simple team deathmatch, but the maps particularly successful and ingenious system repop (always near the action) make it particularly dynamic and fun to play, especially in vehicles. Only reproach: for the time being, Warhead is played on servers separate from those of Crysis, splitting in two a community that did not really need. Some words, finally, on the look of Crysis Warhead, history to confirm - if necessary - it is more amazing than ever. Of course, all this has a price. But Warhead has the advantage of being playable on a fleet of machines more important than at the exit of his predecessor. The different levels of details have been renamed Business Performance / Standard / Gamer / Ultra for us to understand that the intermediate degrees already provide global gaming sufficiently convincing. As long as you have the system requirements, you would therefore be wrong to deprive you: Despite the questionable direction of his campaign solo, Crysis Warhead is a FPS high quality that will allow you to prolong pleasure to discover or less Rolls charge of gender.
---------------------------------------------------------------------------------

link of download
---------------------------------------------------------------------------------

version fraçaise


Crysis Warhead n'est pas une suite, mais un prolongement du FPS événement de la fin de l'année dernière, qui avait su prouver qu'il n'était pas qu'une simple vitrine technologique. Il propose une nouvelle campagne solo en parallèle des événements vécus dans l'original, permettant aux joueurs de prolonger le plaisir en adoptant un autre point de vue. Vendu à prix modéré sous la forme d'un stand alone incluant un second disque dédié au multijoueur, il se pose comme une acquisition indispensable. Qu'en est-il vraiment ?

Le 16 novembre 2007 prirent fin les dernières spéculations techniques sur Crysis : oui le jeu était une tuerie visuelle, oui il nécessitait une configuration de brute pour tourner à son plein potentiel. Mais au-delà de sa plastique admirable, on découvrait un gameplay léché et dynamique. Allégé des scripts qui parasitent trop souvent la liberté d'action, il proposait des environnements ouverts offrant une large variété d'approches, avec un moteur physique remarquable en appui. Pourtant, la campagne solo laissait un arrière-goût d'inachevé : inégale en termes de rythme, elle contrastait trop entre une première partie "bac à sable" jubilatoire et une seconde partie très scriptée et au final moins convaincante. Warhead tente donc le pari de sublimer l'expérience offerte par Crysis. Sa sortie sous la forme d'un stand alone (le jeu original n'est pas requis pour jouer) permet à EA et Crytek de donner une seconde chance à un titre dont les ventes ont été jugées décevantes. Le parc de machines susceptibles de le faire tourner a en effet considérablement augmenté.

Crysis Warhead vous transporte une nouvelle fois sur l'île du Pacifique déjà arpentée dans l'original. Mais cette fois, vous allez en explorer l'autre versant, du point de vue du sergent Sykes. Contrairement à ce que peut laisser penser son faciès brutal et marqué, Psycho (c'est son surnom) est un personnage beaucoup plus nuancé et plus profond que pouvait l'être Nomad. C'est le genre de soldat susceptible d'interrompre une mission pour aller secourir un équipier en nécessité. Comme Nomad, Psycho fait partie de cette escouade de soldats d'élite dépêchés sur l'île. Il dispose donc lui aussi d'une nanocombinaison, véritable seconde peau qui lui sauvera la mise plus d'une fois. Rappelons brièvement que l'île a récemment été envahie par les forces coréennes, qui y retiennent en otage les archéologues américains qui ont mis à jour la présence d'une forme de vie extraterrestre. Tout au long des sept niveaux proposés par la nouvelle compagne solo, la mission de Psycho est de pourchasser un mystérieux convoi emmené par le colonel Ji-Sung Lee. Qui n'a pas joué à Crysis aura peut-être un peu de mal à comprendre certains développements scénaristiques de Warhead, mais soyons honnête : cela n'a qu'une faible importance. On regrette toutefois que le parallèle avec l'épisode original se limite trop souvent à de simples citations : on retrouve certains lieux comme le port ou le bar gelé, on entend parler de Nomad à la radio... Mais les actions de Psycho n'ont pas d'influence directe sur les événements vécus par Nomad et réciproquement. Dommage, ç'aurait pu être amusant.

La nouvelle campagne proposée par Crysis Warhead dispose d'une narration plus travaillée et d'un rythme mieux étudié. Les différentes ambiances se succèdent à une cadence plus soutenue, sans qu'on ait le temps de se lasser : on passe des plages baignées de soleil du premier niveau aux sous-bois boueux du second, battus par une pluie tropicale. Puis on parcourt l'île gelée à bord d'un hovercraft, pour aller ensuite explorer les tréfonds d'une mine... Warhead propose de surcroît une plus grande diversité de situations à l'intérieur d'un même niveau. Psycho peut débuter une zone à pied en solitaire, puis engager une poursuite à bord d'un véhicule, pour enfin participer à un assaut avec une escouade d'équipiers. On sent l'effort des développeurs pour maintenir un rythme constant sans aucun temps mort, au prix d'une linéarité plus importante que dans l'opus d'origine : les niveaux ouverts sont moins nombreux et moins vastes, et les scripts y sont plus présents. Les moments attentistes y sont également moins nombreux dans la mesure où les soldats ennemis, moins statiques, se précipitent plus facilement sur vous et continuent de vous traquer si vous optez pour un repli stratégique. On y perd un peu en variété d'approches possibles : les affrontements, plus directs, ne mettent plus autant à l'épreuve votre ingéniosité, votre sens tactique et vos capacités d'adaptation. On se surprend même à utiliser un peu moins les quatre fonctions de la nanosuit.

Les différentes améliorations apportées par Crysis Warhead vont dans le sens de ce "tout-action". A commencer par les nouvelles armes à disposition. Le lance-grenades permet de venir à bout plus facilement des chars et autres blindés qui pouvaient poser problème dans le premier opus. Le pistolet mitrailleur, disponible en version double, est dévastateur en combat rapproché, mais son recul important lui interdit toute précision de loin. On apprécie grandement que cette dernière ait été augmentée : la visée à distance est beaucoup plus précise, comme le sont également les tirs effectués à partir des tourelles et des véhicules. Les véhicules, justement, s'étoffent d'un nouveau-venu : le VRB (véhicule de reconnaissance blindé), dont la puissance de feu permet de nettoyer des parcelles entières de jungle à la manière d'un Predator. Tout cet arsenal rend Crysis Warhead plus facile que l'original, d'autant que les munitions sont plus courantes et se ramassent automatiquement dans les plus bas niveaux de difficulté : une bonne idée qui vous évitera de passer trois heures à les chercher dans l'herbe touffue. Au rayon des améliorations, notons celle apportée à l'IA. Non que le comportement de vos adversaires ait été revu, mais il souffre de beaucoup moins de ratés que dans le jeu d'origine. Pour finir sur la campagne solo, précisons qu'elle possède hélas une durée de vie un peu faible, qui peine à dépasser les six heures de jeu (même en s'acquittant de quelques missions secondaires). Le jeu a beau être vendu à un tarif raisonnable, on ne peut s'empêcher de rester sur sa faim.

Heureusement, Crysis Warhead s'étoffe aussi en matière de multijoueur, avec la présence dans la boîte de jeu d'un second DVD, intitulé Crysis Wars, qui lui est entièrement consacré. On y retrouve 21 cartes au total, dont 14 étaient déjà présentes dans l'original. Certaines d'entre elles sont dédiées au fameux mode Power Struggle, qui concilie le fun immédiat d’un Counter Strike avec le teamplay d’un Battlefield, d'autres au classique Instant Action. Les dernières introduisent un mode de jeu inédit nommé Team Instant-Action. Il s'agit certes d'un bête deathmatch en équipe, mais ses maps particulièrement réussies et son système de repop ingénieux (toujours près de l'action) le rendent particulièrement dynamique et fun à jouer, surtout à bord de véhicules. Seul reproche : pour le moment, Warhead se joue sur des serveurs séparés de ceux de Crysis, scindant en deux une communauté qui n'en avait pas vraiment besoin. Quelques mots, pour finir, sur le rendu visuel de Crysis Warhead, histoire de vous confirmer – si besoin est – qu'il est plus époustouflant que jamais. Bien sûr, tout cela a un prix. Mais Warhead a l'avantage d'être jouable sur un parc de machines plus important que lors de la sortie de son prédécesseur. Les différents niveaux de détails ont d'ailleurs été renommés en Performances/Standard/Gamer/Ultra pour bien nous faire comprendre que les degrés intermédiaires procurent déjà une expérience de jeu suffisamment convaincante. Pour peu que vous disposiez de la configuration nécessaire, vous auriez donc tort de vous priver : en dépit de l'orientation discutable de sa campagne solo, Crysis Warhead est un FPS de grande qualité qui vous permettra de prolonger le plaisir ou de découvrir à moindre frais la Rolls du genre

info jeux

Editeur : Electronic Arts
Développeur : Crytek
Type : FPS
Support : DVD
Multijoueurs : jusqu'à 32 joueurs en ligne
Sortie France : 18 septembre 2008(16 septembre 2008 aux Etats-Unis)
Version : française intégrale
Config minimum : Windows XP/Vista, processeur 2,8 Ghz (3,2 Ghz sous Vista), 1 Go de Ram, carte graphique 6800 GT ou supérieure, 14 Go d'espace libre sur le disque dur
Classification : Déconseillé aux - de 16 ans

test 10

game

test 9

game

test 8

game

test 7

game

test 6

no ready

test 5

no ready

test 4

no ready

test 3

no ready

test 2

no ready

test 1

no ready

PLAYSTATION 3

NO READY

NINTENDO 64

NO READY

GAMEBOY ADV



gameboy advance

The Game Boy Advance (often shortened to GBA) is a 32-bit handheld video game console developed, manufactured and marketed by Nintendo. It is the successor to the Game Boy Color. It was released in Japan on March 21, 2001 in North America on June 11, 2001; in Australia on June 22, 2001, in Europe on June 22, 2001, and in the People's Republic of China on June 8, 2004 (excluding Hong Kong).

In 1996, magazines including issues 53 and 54 of Total! and the July 1996 issue of Game Informer featured reports of a new Game Boy, codenamed Project Atlantis. Although the expected release date of "early 1997" would make this machine seem to be the Game Boy Color, it was described as having "a 32-bit RISC processor" and "allowing similar to standard SNES-playing games to be played in the palm of your hand "-a description that more closely matches the Game Boy Advance.
Technical specifications

The technical specifications of the original Game Boy Advance are, as provided by Nintendo: [4]

* Size: Approximately 3.2 inches (81 mm) x 5.69 inches (145 mm) x 0.97 inches (25 mm).
* Weight: Approximately 140 grams (5 ounces).
* Screen: 2.9 inches reflective thin-film transistor (TFT) color LCD.
* Power: 2 AA batteries.
* Battery life: The average battery life is approximately 15 hours while playing Game Boy Advance games (also dependent on the Game Pak being played and the volume setting). [5]
* CPU: 16.8 MHz 32-bit ARM7TDMI with embedded memory.
* Memory: 32 kilobyte 96 kilobyte VRAM (internal to the CPU), 256 kilobyte WRAM (external to the CPU).
* Resolution: 240 x 160 pixels.
* Color support: 15-bit RGB (16-bit color space using 5-bit depth per channel), capable of displaying 512 simultaneous colors in "character mode" and 32768 (2 ^ 15) simultaneous colors in "bitmap mode".

Backward compatibility for Game Boy and Game Boy Color games is provided by an 4 / 8 MHz Z80 co-processor, while a link port at the top of the unit allows it to be connected to other devices via use of a Nintendo Game Link cable or GameCube cable. When playing Game Boy or Game Boy color games on the Game Boy Advance, the L and R buttons can be used to toggle between a stretched widescreen format (240x144) and the original screen ratio of the Game Boy (160x144).

All future Nintendo portable systems (the Game Boy Advance SP, Game Boy Micro, DS and DS Lite, and CIOs) have included a built-in light and rechargeable battery.


action game











Crash of the
Titans

game

Bookmark and Share